Commander Reproductions D'art Portrait de la princesse z n yusupove avec ses deux fils à arkhangelskoe de Francois Flameng (1856-1923, France) | WahooArt.com

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"Portrait de la princesse z n yusupove avec ses deux fils à arkhangelskoe"

 



François Flameng , né le 6 décembre 1856 à Paris, où il est mort le 28 février 1923, est un peintre, graveur et illustrateur français.
Fils du célèbre peintre et graveur Léopold Flameng, dont il est au début l'élève, François Flameng entre à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier d'Alexandre Cabanel (1823-1889), puis dans celui de Pierre Edmond Alexandre Hédouin (1820-1889) et de Jean-Paul Laurens (1838-1921). En 1875, il débute au Salon avec sa toile Le Lutrin. Il est attiré comme beaucoup d'autres peintres par le site pittoresque de Septeuil .
Ami du peintre américain John Singer Sargent et de Paul Helleu, il établit son atelier et son domicile vers 1900, au 16 rue de la Glacière à Paris .
En 1891, il conçoit des esquisses pour le premier billet de banque français en quadrichromie, d'une valeur faciale de 1000 francs. Il est exécuté en 1897, mais ne sera pas émis. Le dessin servira dans des couleurs différentes à la réalisation du billet de 5 000 francs, dit le 5000 francs Flameng, qui est mis en circulation de 1938 à 1945.
De 1895 à 1897, François Flameng participe à la décoration de la nouvelle salle Favart du théâtre national de l'Opéra-Comique à Paris, reconstruite après le deuxième incendie du 25 mai 1887, en collaboration de Benjamin Constant, Henri Gervex, Albert Maignan et Luc-Olivier Merson. La salle est inaugurée le 7 décembre 1898.
Apprécié par le tsar Alexandre III, qui lui a acheté sa Baignade des dames de la cour au XVIIIe siècle , il est invité en Russie pour y exécuter une série de portraits de personnalités aristocratiques de la cour impériale.
En 1900, il exécute le panneau décoratif Paris pour la grande salle du restaurant « Le Train bleu » de la gare de Lyon à Paris.
François Flameng est nommé professeur à l'École des beaux-arts de Paris en 1905 et compte parmi ses élèves : Jean Cottenet, Edmond Eugène Ernest Chauvet (1903-1968), Charles Hoffbauer (1875-1957), Henri Alexandre Sollier (1886-1966), Émile Auguste Wery (1868-1935). Il devient membre de l'Académie des beaux-arts cette même année. Il est le président d'honneur de la Société des peintres militaires français.
En 1912, il est élu maire de la petite commune de Courgent dans les Yvelines, où son père fut d'abord inhumé en 1911. Son mandat s'achève en 1917.
En 1914, François Flameng est parmi les premiers peintres des armées à rejoindre les missions aux armées. Se trouvant directement au cœur des combats dans l'Aisne en octobre 1914, il écrit à sa fille du front, lui donnant des nouvelles de son frère qui est au 28e régiment d'infanterie, VIe compagnie, qu'il visitera en 1915. Il fait ainsi le tour du front avec une voiture et son chauffeur, en étant sur tous les points sensibles, mais avec des séjours de courte durée. Il y saisit des croquis qu'il traduit ensuite sur toile à l'atelier.
Il a une préférence pour les scènes historiques, mais peint avec autant d'aisance les scènes de genre et les portraits de personnalités de son époque, ce qui lui assure une renommée importante. Flameng s'est marié sur le tard et au décès de son épouse en 1919, qui fut infirmière pendant le conflit armé , il vend l'ensemble de ses collections comprenant des Chardin, Van Dyck, La Tour, Rembrandt, etc. Un catalogue est publié à cette occasion par la galerie Georges Petit.
Sa fille Marie épouse le tennisman Max Decugis dont elle est parfois le partenaire de double mixte. François Flameng est enterré, aux côtés de son père, dans le cimetière de Septeuil (Yvelines).
Une machine Gun Company de chasseurs alpins dans les Vosges, musée de l'Armée, Paris.
Le Ravitaillement dans les tranchées près de Lihons. Dans la Somme en 1916 (1918).
Coucy-le-Château après la destruction allemande (mars 1917).
Les Pommiers coupés à Cuts (Oise) (mars 1917).
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