Obtenir Reproductions De Qualité Musée Une vie morte avec une tasse allemande, une tasse nautilus, un gobelet de Jean Baptiste Robie (1821-1910, Belgium) | WahooArt.com

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"Une vie morte avec une tasse allemande, une tasse nautilus, un gobelet"

 



Jean Robie où il a notamment Balthazar-François Tasson-Snel pour professeur. Il subvient à ses besoins en réalisant des décorations murales, et plus tardivement en vendant ses toiles, suivant les conseils de Théodore Fourmois. Il réalise tout d'abord des représentations de Napoléon, ensuite des paysages, et finalement des fleurs.
Il obtient sa première médaille d’or au salon de Bruxelles en 1848 pour un tableau de fleurs. Il est plus tard nommé Chevalier de l’Ordre de Léopold (en 1861, puis Officier en 1869, et finalement Commandeur de l’Ordre de Léopold le 4 mai 1881, à la suite de son immense succès lors d'une exposition grandiose à l'inauguration du nouveau Palais des Beaux-Arts (rue de la Régence), simultanée au cinquantenaire de l’Indépendance de la Belgique.
En 1849, Jean Robie a suffisamment d'argent pour acheter un terrain situé chaussée de Charleroi à Saint-Gilles. Il y construit ensuite une grande maison, rachète des terrains limitrophes afin de bénéficier d'un beau grand espace extérieur. Il entame également une période de nombreux voyages, durant lesquels il explore l'Asie, l'Europe et l'Afrique, et puisera énormément dans cette expérience pour enrichir et transformer son art. En son domicile sera fondé le Musée indien.
Jean Robie meurt célibataire et sans enfants en 1910 à l'âge de 89 ans, laissant derrière lui des intentions très humbles quant au respect de sa mémoire : « Pour parer à toute éventualité, je ne veux pas que les membres de ma famille s’occupent de mes funérailles que je veux sans aucune cérémonie religieuse ; mes amis Gustave Washer et Prosper De Wilde, sont chargés de faire incinérer mon corps au cimetière du Père-Lachaise, à Paris ; ils sont dispensés de m’y faire élever un monument quelconque. Ma volonté est que mes cendres ne soient pas conservées. On n’enverra point de circulaire ; il suffira de faire insérer une notice nécrologique dans les six journaux suivants : L’Indépendance belge, le Petit Bleu, l’Étoile, la Chronique, le Soir et la Gazette. Je décline les honneurs militaires et tout ce qui a rapport aux pompes funèbres. Aucun discours ne sera prononcé devant mon cercueil : on est prié d’envoyer ni fleurs ni couronnes … Écrit en entier de ma main le mercredi 25 novembre l’an 1903. ».

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