Or, Rose et Gris de John Sloan (1871-1951, United States) John Sloan | WahooArt.com

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"Gold, Rose and Gray"

 




John Sloan français (2 août 1871 - 7 Septembre, 1951) était un artiste américain. En tant que membre de la Huit, un groupe d'artistes américains, il est devenu une figure de proue de l'école Ashcan des artistes réalistes. Il était connu pour sa peinture de genre en milieu urbain et la capacité de capturer l'essence de la vie de quartier dans la ville de New York, souvent à travers sa fenêtre. Sloan a été appelé «le premier artiste de l'École Ashcan qui a peint l'inépuisable énergie et de la vie de la ville de New York durant les premières décennies du XXe siècle", et un «peintre réaliste au début du XXe siècle qui ont embrassé les principes du socialisme et placé ses talents artistiques au service de ces croyances. "

John Sloan est né à Lock Haven, en Pennsylvanie, le 2 août 1871, à James Dixon, un homme avec un penchant artistique qui a fait un revenu instable dans une succession d'emplois, et Henriette Sloan, un instituteur d'une famille aisée. Sloan a grandi à Philadelphie, en Pennsylvanie, où il a vécu et travaillé jusqu'en 1904, quand il a déménagé à New York. Lui et ses deux sœurs ont été encouragés à dessiner et à peindre dès son jeune âge. À l'automne de 1884, il a commencé l'école secondaire à la Central High School à Philadelphie, où ses camarades de classe William Glackens et Albert C. Barnes.

Au printemps de 1888, son père a connu une dépression nerveuse qui l'a rendu incapable de travailler, et Sloan est devenu responsable, à l'âge de 16 ans, pour le soutien de ses parents et ses sœurs. Il a abandonné l'école pour travailler à temps plein en tant que caissier adjoint à Porter et Coates, une librairie. Ses fonctions ont été la lumière, lui permettant de nombreuses heures à lire les livres et examiner les travaux d'impression dans le département du magasin. C'est là que Sloan a créé ses premières œuvres qui subsistent, parmi lesquels sont des copies à la plume après Dürer et Rembrandt. Il a également commencé à faire des gravures, qui ont été vendus dans le magasin pour une somme modique. En 1890, l'offre d'un salaire plus élevé Sloan persuadé de quitter son poste de travail pour A. Edward Newton, un ancien greffier de Porter et Coates, qui avait ouvert son magasin propre papier à lettres. A Newton, Sloan des cartes de vœux, calendriers, et a continué avec ses gravures. La même année, il a également assisté à une nuit classe de dessin à l'Institut de Spring Garden, qui lui a fourni sa première formation artistique formelle.

Il quitta bientôt d'affaires de Newton à la recherche d'une plus grande liberté en tant qu'artiste indépendant commerciaux, mais cette entreprise produit peu de revenus, le conduisant en 1892 pour occuper un emploi dans le département de l'art à The Philadelphia Inquirer, où il travaille comme illustrateur. Plus tard cette même année, Sloan a commencé à prendre des cours du soir à la Pennsylvania Academy of Fine Arts sous la direction de Thomas Pollock Anshutz. Parmi ses camarades était son ancien camarade William Glackens.

Lors d'une fête de Noël en 1892, Sloan a rencontré Robert Henri, un avocat charismatique de l'indépendance artistique qui est devenu un mentor pour lui. Henri encouragé Sloan qui a finalement été convaincu de se tourner vers la peinture. Ils étaient amis de longue date, partagent une vision commune artistiques, et ainsi promouvoir une nouvelle forme de réalisme qui a contribué à redéfinir l'art américain.

Vers la fin de 1895, Sloan a décidé de quitter The Philadelphia Inquirer à travailler dans le département d'art de La Presse Philadelphie. Son calendrier est maintenant moins rigide, ce qui lui permet plus de temps pour peindre. Henri offert des encouragements, et souvent envoyés reproductions Sloan d'artistes européens, tels que Manet, Hals, Goya et Vélasquez.

En 1898, le socialement maladroit Sloan a été introduit à Anna Maria (Dolly) Wall (né en Juillet 28, 1876), et les deux tombent immédiatement amoureux. En entrant dans une relation avec elle, Sloan
accepté les défis posés par son alcoolisme et son comportement sexuel qui comprenait à la prostitution, bien que Dolly a travaillé dans un grand magasin par jour, Sloan a rencontrée dans un bordel. Les deux se sont mariés le 5 août 1901, fournissant Sloan avec un partenaire affectueux qui croyaient en lui absolument, mais dont les lacunes et d'instabilité mentale conduit à des crises fréquentes.

En 1903, il avait produit environ soixante peintures à l'huile au total. En avril 1904, Sloan déménagé à New York City, et je trouvai bientôt quarts de Greenwich Village où il peint certaines de ses œuvres les plus connues, y compris McSorley's Bar, Sixième Avenue élevées à la troisième rue, et sillage du traversier. Son séjour à New York a été sa période la plus prolifique, mais il a vendu à peu, et il a continué de s'appuyer sur ses gains en tant que pigiste pour La Presse de Philadelphie, pour lesquels il a continué à tirer des énigmes hebdomadaires jusqu'en 1910. En 1905, il a été complétant ce revenu en dessinant des illustrations pour des livres (y compris The Moonstone) et pour des revues telles que Collier's Weekly, Good Housekeeping, Harper's Weekly, le Saturday Evening Post, et Scribner's.

Un médecin qui a été consulté dans le but d'aider à surmonter son problème de Dolly potable a suggéré un programme de Sloan: il était de lancer un journal dans lequel il aurait notamment son plus grand de ses pensées, dans l'espoir qu'elle serait subrepticement lire et être libéré de sa peur de désactivation qui Sloan serait son congé. Couvrant la période allant de 1906 à début 1913, le journal ne tarda au-delà de sa vocation initiale, et sa publication en 1965 des chercheurs fourni avec une chronique détaillée des activités de Sloan et les intérêts.

mécontentement croissant Sloan avec ce qu'il a appelé «gouvernement de la ploutocratie" l'a conduit à rejoindre le parti socialiste en 1910. Il est devenu le directeur artistique des masses avec le Décembre 1912 question, et a contribué à d'autres dessins publications socialistes tels que la Nation appel et à venir. Comme Sloan n'aimait pas la propagande, son travail pour ces magazines manquaient souvent manifeste contenu politique. C'est inacceptable pour une faction de ses éditeurs collègues lors des messes, l'obligeant à démissionner de son poste avec le journal en 1916. Plus tard, il est devenu désabusé avec le Parti communiste en Amérique, bien qu'il continue à espérer que l'Union soviétique aurait réussi à créer une société égalitaire.

En 1913, Sloan a peint une toile de fond énorme pour la reconstitution historique de la grève Paterson. Le jeu, un spectacle-bénéfice pour les travailleurs en grève moulin à soie, a eu lieu au Madison Square Garden, et constituée de plus de 1000 acteurs.

En Février 1913, Sloan a participé à l'Armory Show. Il a servi en tant que membre du comité qui a organisé, et présentaient également deux tableaux et cinq eaux-fortes. Dans la même année, l'important collecteur de Albert C. Barnes acheté une des peintures de Sloan, ce n'était que la quatrième vente d'un tableau de Sloan (bien qu'il ait souvent à tort été considéré comme son premier). Pour Sloan, l'exposition à des œuvres modernistes européens sur la vue dans l'Armory Show a lancé un mouvement graduel d'abandon de la thématique urbaine, il avait été de peinture pour les dix années précédentes. En 1914-15, au cours des étés passés à Gloucester, Massachusetts, il peint en plein air des paysages dans un style nouveau et plus coloré influencé par Van Gogh et les Fauves.

À partir de 1914, Sloan a enseigné à l'Art Students League, continue pendant environ dix ans. Sloan a également enseigné brièvement à l'école George Luks Art. Ses étudiants l'respecté pour ses connaissances pratiques et de l'intégrité, mais il craint sa langue caustique, comme un peintre bien connu qui avait néanmoins vendu des peintures très peu, il conseillait à ses élèves: «Je n'ai rien à vous apprendre qui vous aideront à faire un de vie ".

L'été 1918 fut le dernier qu'il a passé à Gloucester. Pour les 30 prochaines années, il a passé quatre mois chaque été à Santa Fe, Nouveau Mexique, où le paysage désertique a inspiré une nouvelle concentration sur le rendu de la forme. Pourtant, la majorité de ses œuvres ont été réalisées à New York. Il a développé un vif intérêt dans les arts amérindiens et les cérémonies, et est devenu un défenseur des artistes indiens. Il a également défendu le travail de Diego Rivera, qu'il a appelé "l'artiste une sur ce continent qui est dans la classe des anciens maîtres." La Société des artistes indépendants, qui Sloan avait co-fondé en 1916, a donné Rivera et José Clemente Orozco leur première aux États-Unis en 1920.

En 1943, son épouse, Dolly, est décédé de maladie coronarienne. L'année suivante, Sloan épousé Helen Farr, qui est responsable de plus de la préservation de ses œuvres. Le 7 Septembre, 1951 John Sloan est mort du cancer à Hanover au New Hampshire.

Formation

John Sloan formation se composait de son étude et à la reproduction d'œuvres de peintres tels que Rembrandt, quelques classes dans divers établissements, de mentorat par Robert Henri, et son expérience de travail en tant que graveur et dessinateur. Il est connu que l'école secondaire que Sloan avait assisté à un service de l'art de qualité, mais il ne sait pas si il a acquis une formation là-bas. Sloan a travaillé plusieurs emplois dans le dessin, la gravure, et de faire œuvre d'art commercial avant il a assisté à la Pennsylvania Academy of Fine Arts, où il étudia sous Thomas Pollock Anshutz. L'expérience Sloan recueillies auprès de ses emplois divers articles de presse lui a fourni un certain nombre de connaissances et une salle de permis pour lui d'explorer et de développer dans son temps libre. Henri de mentorat a été important dans la formation Sloan parce qu'il encourage à peindre plus, et lui a présenté les travaux de divers artistes, dont les techniques, la composition et le style Sloan étudiés. Il a demandé des directives supplémentaires à partir de Ruskin Les éléments de dessin et de John Collier Un manuel de peinture à l'huile. Sloan cru que son étude et de mentorat à la Pennsylvania Academy of Fine Arts, ainsi que ses premières expériences de Philadelphie, à son «enseignement collégial."

premières influences

Dès son jeune âge Sloan avaient été exposés à de nombreux livres et reproductions par son oncle, Alexandre Priestley, qui a tenu une vaste collection dans sa bibliothèque. Une influence majeure qu'il a été découvert John Leech, un caricaturiste anglais. Lorsque Sloan entré dans sa position à La Presse Philadelphie ses dessins journal reflète le style de Leech, Charles Keene, et George du Maurier. Mais en 1894 il avait commencé à attirer l'attention avec des illustrations décoratives dans un nouveau style liées à la circulation d'affiches; ces oeuvres combinent les influences d'artistes européens de la fin du 19e et au 20e, y compris Walter Crane, et de révéler l'étude Sloan de Botticelli et japonais estampes.

premières peintures Sloan a peut-être été influencé par Thomas Eakins comme un résultat de son temps à étudier sous Anshutz à la Pennsylvania Academy of Fine Arts. En 1893, Sloan et Glackens devenu habitués à une semaine "portes ouvertes" au studio Henri, où il a dirigé les discussions de livres tels que George Moore peinture moderne et pourparlers William Morris Hunt sur l'art. "Les deux Eakins et Moore a souligné l'importance de la vie dans l'art, l'une des idées Henri est crédité d'avoir transmis aux artistes journal jeunes."

Style et l'École Ashcan

Il a été membre de la Huit, un groupe d'artistes réalistes qui comprenait Robert Henri, Everett Shinn, Arthur B. Davies, Ernest Lawson, Maurice Prendergast, George Luks, et William Glackens. Les Huit sont étroitement identifié avec l'École Ashcan, bien que Sloan méprisé ce terme. Contrairement à Henri, Sloan n'était pas un peintre facile, et travaillé sur son travail de pointe Henri de remarquer que «Sloan» était «le participe passé du« lent ». Lorsque Glackens et Sloan ont été à The Philadelphia Inquirer, Glackens généralement obtenu les affectations journalistique parce qu'il était plus habile que Sloan en faire des croquis rapide. Son approche lente et méthodique vers croquis reportés à sa peinture. "Approche Sloan pour faire de l'art réaliste urbaine a été basée sur des images vues et rappeler (et parfois écrit) plutôt que esquissé dans la rue, même si sa gestion autographe des médias de peinture et d'impression donne l'apparence d'un dessin rapide. L'effet est d'ordre conceptuel plutôt que de perception, que Sloan dénigrés comme "la vue" peinture ". Cela a été une des principales caractéristiques de son style, conforme à l'objectif de l'École Ashcan de présenter un sujet pour le spectateur avec tous l'immédiateté d'un instantané.

Sloan tendance à observer la vie en ville et les habitants qui interagissent dans un cadre intime car ils interagissent. Il "s'est intéressé à ce que nous appelons genre:. Scènes de rue, la vie restaurant, des peintures de saloons, les bacs, les toits, arrière-cours, et ainsi de suite tout un catalogue de sujets communs» Comme Edward Hopper, Sloan souvent utilisé la perspective de la fenêtre dans sa peinture, afin de se concentrer en étroite collaboration, mais aussi afin d'observer l'objet détecté. Il a écrit dans son journal, en 1911, je suis dans l'habitude de regarder tous les bits de la vie humaine je vois de mes fenêtres, mais je le fais pour que je ne suis pas observée à elle ... Aucune insulte aux gens que vous regardez le faire invisible. " attention Sloan à des incidents isolés dans l'environnement urbain rappelle les techniques narratives utilisées dans la fiction réaliste et les films hollywoodiens dont il jouissait.

Chaque fois que Sloan a été interrogé sur le contexte social de ses tableaux ou de son association avec le socialisme, il a dit qu'ils ont été fait avec «sympathie, mais pas de conscience sociale." "Je n'ai jamais été intéressé à mettre la propagande dans mes peintures, si ça me gêne quand historiens de l'art essayer d'interpréter mes images la vie en ville comme« socialement consciente. J'ai vu la vie quotidienne du peuple, et dans l'ensemble j'ai pris des bouts de joie dans la vie de l'homme pour mon sujet. " Dans la fin des années 1920, Sloan a changé sa technique, et a abandonné sa caractéristique question urbaine sous réserve en faveur des nus et des portraits. Rejetant comme superficielle le spontané, la technique picturale d'artistes tels que Manet et Hals - et aussi de Henri et de ses disciples parmi les huit - il plutôt tourné vers la sous-couche et la méthode de vitrage utilisé par les maîtres anciens tels que Andrea Mantegna. Les peintures en résultant, qui souvent fait un usage non-conventionnelle de hachures superposées pour définir les formes, n'ont jamais atteint la popularité de ses premières œuvres Ashcan.

Legacy

Parmi les tableaux les plus connus John Sloan sont fenêtre de coiffeur (1907, collection privée), le terrain de pique-nique (1907), dans le Whitney Museum of American Art, The Haymarket (1907), au Brooklyn Museum, et du barreau McSorley's (1912). En 1971, sa peinture de la Wake Ferry (1907, dans la Phillips Collection, Washington, DC) a été reproduite sur un timbre-poste des États-Unis honorer Sloan.

Ses étudiants inclus Alexander Calder, Reginald Marsh, Peggy Bacon, Aaron Bohrod, Barnett Newman, et Norman Raeben. En 1939, il publie un livre de ses enseignements, Gist de l'art.

Dans Visions américaines le critique Robert Hughes fait l'éloge de l'influence de «la plus lyrique, et politiquement acerbe des artistes Ashcan,« un spectateur de la vie », comme il s'appelait lui-même. Travaux Sloan avait un honnête humaine-ness, une franche sympathie, il refusé pour aplatir la classe inférieure New-Yorkais dans les stéréotypes de la misère, et son sens aigu des moments où les gens ordinaires sont vus à l'improviste, ou isolées, était d'affecter profondément l'artiste phare de la prochaine génération, Edward Hopper. "

Le lobby de l'Office des États-Unis Post (Bronxville, New York) dispose d'une murale peinte par Sloan en 1939 et intitulé «L'arrivée de la première dépêche à Bronxville en 1846." Le bureau de poste et de peinture murale ont été inscrits au registre national des lieux historiques en 1988.
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